Jenny ZANA après de brèves études de dessin à l'atelier de Maître CORLIN à Paris, a orienté sa carrière vers un autre métier artistique qui était la création de bijoux Haute Couture qu'elle signait sous le nom de : "Jenny d'Ormond".
Elle a été reconnue dans de nombreux pays comme une des premières créatrices en vogue dans les années 85 à 96.
Elle a repris depuis quelques années sa passion pour la peinture qu'elle signe de son nom d'artiste «Jenny d'Ormond»
C'est une peinture des états d’âme de l'artiste. Elle lui permet de transmettre aux spectateurs une réaction émotionnelle. Ses représentations peuvent être fondées sur des visions ou des rêves : angoissants ou sereins ; le but en stylisant la réalité est d'atteindre la plus grande intensité expressive, de mettre en scène des symboles par la couleur.
D'une sensibilité extrême et très influencée spirituellement par ses 9 années de vie en Asie, ses premières toiles spirituelles ont voulu exprimer "l'âme" avec tout son mystère ; puis la violence actuelle a réveillé les douleurs enfouies en elle, de la guerre qu'elle a exprimé par ses couleurs vives voir violentes.
Elle a adopté une technique originale pour l’acrylique : elle travaille avec les doigts ; elle sculpte en quelque sorte la peinture avant de la poser sur la toile.
Elle a conservé des techniques plus traditionnelles pour la peinture à l’huile dans l’esprit de sujets plus conventionnels : paysages ou portraits.
Elle a été reconnue dans de nombreux pays comme une des premières créatrices en vogue dans les années 85 à 96.
Elle a repris depuis quelques années sa passion pour la peinture qu'elle signe de son nom d'artiste «Jenny d'Ormond»
C'est une peinture des états d’âme de l'artiste. Elle lui permet de transmettre aux spectateurs une réaction émotionnelle. Ses représentations peuvent être fondées sur des visions ou des rêves : angoissants ou sereins ; le but en stylisant la réalité est d'atteindre la plus grande intensité expressive, de mettre en scène des symboles par la couleur.
D'une sensibilité extrême et très influencée spirituellement par ses 9 années de vie en Asie, ses premières toiles spirituelles ont voulu exprimer "l'âme" avec tout son mystère ; puis la violence actuelle a réveillé les douleurs enfouies en elle, de la guerre qu'elle a exprimé par ses couleurs vives voir violentes.
Elle a adopté une technique originale pour l’acrylique : elle travaille avec les doigts ; elle sculpte en quelque sorte la peinture avant de la poser sur la toile.
Elle a conservé des techniques plus traditionnelles pour la peinture à l’huile dans l’esprit de sujets plus conventionnels : paysages ou portraits.
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